(james) I stay up too late, got nothing in my brain

**James Canterburry** ✰ Messages : 18 ✰ depuis le : 29/10/2014

james canterburry

Les hommes se distinguent par ce qu'ils montrent et se ressemblent par ce qu'ils cachent.

♢ prénom : James était le prénom de son grand-père paternel, c'est une sorte d'hommage. Son deuxième prénom est Maxwell. Si on l'emploie il préfère Max, évitez Maxxie. ♢ nom : Canterburry, un nom de famille d'origine anglaise. ♢ âge : vingt-huit ans ♢ date de naissance : un certain 1er juin, lors d'une journée d'été assez chaude. ♢ nationalité : américain, son père l'est aussi mais sa mère, elle, est anglaise. ♢ métier : architecte. C'est un véritable passionné. ♢ statut civil : célibataire ♢ orientation sexuelle : hétérosexuel ♢ avatar : andrew garfield ♢ groupe : periwinkle ♢ crédits : tumblr

✰ the hills are alive with the sound of music
créatif ~ protecteur ~ patient ~ posé ~ jaloux ~ rancunier ~ méfiant ~ boudeur.

James est le troisième enfant de la famille Canterburry. Devant lui, deux grandes sœurs Emily et Daisy, et tout juste derrière lui, July. En gros, il a été le seul garçon parmi toute cette flopée de filles. La famille s'est sacrée ! En Angleterre, il vivait à quelques mètres de la maison de ses grands-parents maternels et il appréciait fortement aller prendre son goûter chez eux. Il a été longtemps le jouet de ses deux grands sœurs, il a souvent été habillé en fille. Jusqu'à l'âge de neuf ans environ. ♢ Ses parents se sont séparés quand il avait seize ans. La raison ? Non son père n'a pas trompé sa mère, ce serait plutôt le contraire... et pas avec un homme, avec une femme. Sa mère a longtemps expliqué qu'elle l'avait toujours su. Son père l'a très mal pris et est parti un soir en claquant la porte. Quelques mois plus tard il est arrivé à Seviervill avec ses trois sœurs, sa mère et sa future belle-mère. Il s'est senti bien seul, en tant que seul homme. ♢ James a toujours été un garçon sérieux, qui prenait ses cours très à cour. Il avait peu d'amis et rester la plupart de son temps dans sa chambre à travailler ses cous ou à jouer aux jeux vidéos, quand ses sœurs ne le prenaient pas pour leur jouet bien entendu. Il aimait passer son temps sinon dans le jardin à faire quelques bricoles de jardinages. C'est une personne assez minutieuse. ♢ Il aime toujours bien s'habiller, être nickel. C'est sans doute le fait d'avoir vécu entouré de femmes... Il est assez maniaque de sa personne, il ne supporte pas les chemises froissées et s'il y a une toute petite tâche, à peine visible, il va directement laver ses vêtements. Il est maniaque même en général, il aime bien l'ordre... un peu trop. ♢ En arrivant au lycée, il n'était pas du tout motivé. Déjà, il savait qu'il allait galéré à parler aux gens, et la vie américaine était totalement différente de la vie anglaise. C'est Thalia qui lui a parlé en premier, qui l'a assommé d'une tonne de questions... sa première pensée a été qu'elle était folle. Or, c'est devenue sa première amie et au fur et à mesure il en est tombé amoureux. Elle pense qu'il est gay, et il ne sait pas du tout pourquoi. Peut-être car il est toujours habillé impeccablement ? ♢ Il aime bien cuisiner. S'il n'avait pas été architecte, peut-être qu'il aurait été cuisinier. Il adore le mélange des saveurs et de créer toutes sortes de choses. ♢ Quand il n'a pas le moral, il regarde tous les épisodes de Star Wars. Ca fait beaucoup d'heures mais au moins il est sûr qu'au final, il a retrouvé lé sourire. Depuis qu'il est tout petit il est fan de tout ce qui a rapport avec la Guerre des étoiles. Il a tout les films et il a longtemps eu des livres parlant de Star Wars. ♢ Il est allergique aux chats. Il en a, en plus, un mauvais souvenir chez ses grands-parents quand il était petit. Ils avaient trois chats et les repas familiaux étaient un calvaire pour James qui n'en finissaient pas d'éternuer et de finir en crise d'asthme. Car oui, James est asthmatique depuis qu'il est petit. ♢ C'est un acharné du travail. S'il est passionné, il peut passer des heures sur un projet.

✰ if i should die this very moment, i wouldn't fear
Je suis arrivé dans cette ville il y a déjà dix ans, que le temps passe! C'est à la suite du divorce de mes parents en fait, ma mère et son amie ont décidé que ce serait bien pour nous de prendre un tout nouveau départ dans un autre pays! Ainsi, on habite ici. J'avoue qu'au départ j'ai bien eu du mal à m'adapter, mais en fin de compte, j'aime beaucoup cette petite ville. Elle est calme et je m'y plais.

♢ prénom : amélie. ♢ pseudo : silver sky. ♢ âge :. ♢ région : oays de la loire ♢ comment tu as trouvé le forum ? : thalia la méchante

♢ il est beau ? :

♢ connexion : 4/7 ♢ autre chose : réponse.

**James Canterburry** ✰ Messages : 18 ✰ depuis le : 29/10/2014

THE STORY OF GODS AND MEN

"L'amour se suffit à lui-même !
Et moi, je pense que rien ne suffit à l'amour !"

J'étais tranquillement en train de jouer aux legos, quand soudain... Je fus kidnappé. Je ne vous explique même pas comment j'ai crié tout le long du couloir de la maison en agrippant fortement aux murs. Elles avaient profité d'un instant où j'étais fortement concentré sur la construction d'un bulding -oui je voyais grand, j'étais un visionnaire que voulez-vous ! ' pour me chopper et m'emmener en enfer : la chambre de ma sœur ainée. Une chambre toute rose avec plein de dentelles et de froufrous, ça peut vous donner des frissons dans le dos. « Lâche moi ! » Fis-je en suppliant ma deuxième sœur. Elles s'ennuyaient peut-être mais elles ne pouvaient pas trouver un autre jeu que de me travestir ? J'en avais marre à force. « Fais pas ta chochotte Maxxie ! » J'en eus la chaire de poule, je détestais qu'on m'appelait comme ça. Je détestais ce surnom. « Ou tu préfères Jessie ? C'est mignon aussi. » J'essayais de me débattre, mais je n'y arrivais tout simplement pas. J'étais chétif, je n'avais aucune force dans mes muscles. Emily se tint devant moi avec une robe rose qui était ornée de dentelles blanches. Une horreur. « Ca te va si bien le rose. » « MAMAAAAAAAAAAAN ! » J'en ai crié à m'en couper le souffle, mais personne ne vint me sauver. Pour cause les parents étaient partis faire des courses avec la cadette et on était resté seuls à la maison. J'avais neuf ans et je me jurais que ce serait la dernière fois qu'elle allait me passer une robe. Ce fut la dernière fois car, je me suis fais un plaisir de déchirer la robe et de la taillader à coup de ciseaux. Emily est allée pleurer dans les bras de notre mère et je fus puni. Ironique, c'est moi qui subit l'acte, mais c'est moi qui est puni. Je ne comprendrais jamais.

Je l'avoue, cette nouvelle je ne m'y attendais absolument pas. On entendait beaucoup nos parents se disputer mais jamais je n'aurai cru qu'ils allaient divorcer. Alors, quand ils nous ont annoncé la nouvelle, j'ai cru à une blague. J'avais dix-huit ans, une vie stable. Je passais le plus clair de mon temps à dessiner et je n'avais jamais été le garçon qui mettait sa vie en l'air en buvant de trop ou en se droguant. J'avais toujours gardé en tête les principes que m'avaient inculqués mes parents. « Je pense que c'est à votre mère de dire la cause de ce divorce. » Le ton de mon père était glacial. On aurait dit qu'il avait reçu un couteau en plein cœur. Jamais je ne l'avais vu comme ça. On s'est tous douté que ma mère avait trompé mon père, mais ce à quoi on s'y attendait pas c'était le fait qu'elle l'avait fait avec une femme. L'effet d'une bombe. Un grand silence survint dans le salon et on vit mon père partir dans la chambre conjugal. Il est parti le soir même, sans même nous dire au revoir alors qu'on n'avait rien fait pour notre part. Je lui en ai beaucoup voulu, car le pire c'est qu'il n'a jamais pris de nos nouvelles. En gros, j'avais l'impression qu'il s'en moquait de nous. On a rencontré la copine de notre mère quelques semaines plus tard, notre mère a préféré attendre qu'on digère le choc. Pour ma part je m'en moquais un peu du moment qu'elle était heureuse mais Emily avait l'air de l'avoir mal pris, sans doute car elle aurait voulu que notre mère en parle plus tôt. « Je vous présente Sophie. » C'était une française que ma mère avait rencontré lors d'un voyage professionnel à Nice, en France. C'est lors de ce dîner de rencontre qu'on nous annonça qu'on allait déménager aux Etats-Unis. On avait pas notre mot à dire, et de plus, notre père ne voulait pas nous voir, du coup elle trouvait que c'était mieux pour un nouveau départ. C'est ainsi que j'ai posé le pied sur le sol américain. Dix-huit ans, complètement paumé.

« Je préfère vous prévenir monsieur Canterburry que ce n'est pas parce que vous êtes nouveau que vous aurez le droit à des privilèges. Ici, on n'accepte pas les retards et les problèmes. » Il avait l'air sympathique ce proviseur. C'était mon premier jour dans ce lycée et je n'avais...aucune motivation. A quoi cela allait me servir ce que l'on m'enseignait ? Je voulais juste construire des immeubles, dessiner e que j'avais en tête. Je regardais mon emploi du temps et le plan du lycée pour me rendre à mon premier cours. Je rentrais dans la salle pour aller me poser à côté d'une fille qui dormait limite. Il allait être content le proviseur. Je sortis mes affaires, et surtout mon cahier pour pouvoir dessiner tranquillement quand ma voisine se mit à parler : « Hanna, j'ai un problème avec la caméra, faudrait que tu m'aides à la réparer. Oh et j'ai oublié mes exo de math. Et quand je dis oublié, ça veut dire oublier de les faire donc faudrait que tu me passes les tiens, si je me fais interroger. » J'avais arqué un sourcil. Déjà, je devais avoir pris la place d'une personne, après tout je ne savais même pas s'il y avait des places désignées ou pas. Elle avait parlé très vite et je n'avais pas forcément tout compris. Le professeur avait décidé qu'on devait parler de notre week-end en espagnol. J'étais nul en espagnol et en plus qu'est ce que je pouvais dire de mieux que d'avoir déballer des cartons tous les jours ? « T'es nouveau, toi ? Tu viens d'où ? T'as quel âge ? Enfin non répond pas à cette question, c'est débile, tu dois avoir mon âge. Enfin normalement ? T'as pas sauté une classe ou redoublé ? C'est quoi ton nom ? T'en pense quoi des chèvres ? Oh t'es pas obligé de me répondre en espagnol, le prof fait pas attention. Il doit sûrement être en train de décuver de son week-end. » Elle était spéciale. Bizarre. Trop bizarre même. Genre, elle me posait un million de questions et je restais stoïque. Je ne faisais que de la fixer en la regardant avec des yeux ronds, sans doute surpris par son débit de paroles. Sérieusement, elle arrivait à respirer ? « Ouais, je suis nouveau, je suis arrivée ici la semaine dernière, mais c'est mon premier jour au lycée. Je viens de Londres j'ai dix-huit ans, j'ai ni sauté, ni redoublé de classe. Je m'appelle James, enfin c'est mon deuxième prénom, parce que le premier voilà .. Et les chèvres ... Euh ... Bah ... C'est sympa. » Je ne savais pas quoi répondre d'autres, puis je n'allais pas raconter toute ma vie à une illustre inconnue si ? Je ne vais pas lui dire que la raison de mon emménagement c'est parce que mes parents ont divorcé car ma mère a trompé mon père avec une femme... Ce serait original comme rencontre, mais non. Je n'étais pas du genre à étaler ma vie privée, mais fallait croire que pour elle, cela ne causait aucun problème. Elle avait quand même parlé de chèvres... Je me demandais si elle n'était pas un peu – beaucoup – folle. Elle me disait qu'elle m'aimait bien, qu'elle me ferait visiter. Bon au moins, cela éviterait de me perdre. A la sonnerie, je me levais pour prendre mes affaires mais je n'eus pas le temps de filer pour la simple et bonne raison qu'elle avait pris mon bras pour m'entrainer avec elle. Elle parlait tout le temps. C'était dingue. Le soir je suis rentré, j'avais la tête comme une pastèque. Je ne voulais même plus entendre quelqu'un parler tellement j'avais eu ma dose sur le coup.

Thalia est devenue ma meilleure amie, enfin elle était plus pour moi. Le problème c'est que quand mademoiselle a une idée en tête, on ne peut pas lui faire changer d'avis. Elle croyait que j'étais gay et à force ça devenait lourd. Elle voulait toujours me caser avec des hommes et je commençais en avoir marre. J'étais tranquillement assis dans mon appartement, elle était venue squatter comme d'habitude. Cela faisait quelques temps que j'avais décidé de vivre seul. J'avais arrêté mes études après le lycée pour me lancer corps et âme dans l'architecture avec un culot d'enfer. Un cabinet voulait bien me voir et je me préparais corps et âme. J'avais travaillé toute la journée dessus et je m'octroyais une petite pause jeux vidéos tranquillement quand une nouvelle fois me dire qu'il fallait que je trouve un copain et qu'elle allait m'en trouver un. Je posa un instant mon regard sur elle. Elle était officiellement chiante. Je ne comptais même plus le nombre de fois que je lui avais dis que je n'étais pas gay, à croire qu'elle n'avait pas de cerveau. Chose que je pensais de plus en plus. « Oh ça se voit. Et c'est pour ça que de tous les personnages d'Harry Potter, tu as choisi un qui était gay. Non, mais tu sais tu me le dire hein. Je te jugerais pas. Et puis, je serais mal placé pour te juger sur ça je pense. Oh je sais ce soir on va dans un club gay ! Tu vas pouvoir trouver quelqu'un au moins pour une nuit ! » Les références à Harry Potter était tout à fait normal entre nous, mais là j'avouais que j'en avais marre. « Thalia, je ne suis pas gay ! J'ai eu des copines !» Véridict. Que cela soit à Londres où ici j'avais eu quelques copines, je pensais même qu'elle aurait compris en me voyant avec une fille. Hélas, elle était un cas désespéré : elle ne comprenait rien. Je commençais vraiment à être en colère, j'étais agacé. Elle voulait quand même qu'on aille dans un bar gay. Elle me soulait. Mais qu'est ce qu'elle m'énervait ; Des fois je me demandais même comment je pouvais l'aimer. C'est alors qu'elle m'annonçait qu'elle avait arrêté l'université. Je restais bouche bée. Pourquoi ? Elle n'en faisait qu'à sa tête ce n'était pas possible. C'est alors qu'elle parti dans son soliloque me déclarant qu'elle voulait emménager ici, elle n'attendit même pas ma réponse, je n'eus même pas le temps de répondre à sa question qu'elle sautillait de joie à l'idée de venir habiter avec moi dès demain. Merde. Ce n'était pas du tout prévu. Franchement vivre avec la fille que vous aimez mais qui ne vous croit même pas, c'est difficile et j'allais être assez gêné par cette situation. Elle a bien emmené ses affaires le lendemain. « Si tu fous le bordel, je te tue. » Je pris mes affaires pour aller au cabinet où j'avais rendez-vous. Ce jour-là je suis devenu architecte. J'étais heureux comme tout.

« Vive les mariés ! » Tout le monde entonnait ces mots et je levais moi aussi mon verre de champagne. Thalia m'avait demandé à ce que je l'accompagne à cette réception, après maintes supplications j'avais accepté. J'avais donc enfilé un costume et je m'étais rendu à la cérémonie. C'était beau l'union de deux êtres qui s'aiment, pour le meilleur et pour le pire. Moi aussi je voulais ça, tout ça. Fallait croire que j'étais maudit puisque la seule fille que j'aimais avec qui je pouvais penser avoir tout ça, me croyait toujours gay. A la fin de la réception j'avais un peu trop bu, et je rejoins ma chambre. On était là pour tout le week-end puisque le lendemain, on avait le retour du mariage. Je pris mon téléphone pour voir un message de ma soeur Emily, elle m'avait envoyé un message avec sa fille. J'avais une adorable petite nièce depuis un an et demi, et elle était à croquer, pas comme sa mère. Je posais mon téléphone sur la commode avant d'enlever ma veste de smoking et de desserrer ma cravate. Je l'enlevais à son tour et j'étais en train de déboutonner ma chemise quand je vis Thalia sur le pas de ma porte. Qu'est ce qu'elle foutait là ? Et depuis combien de temps ? Oh non je ne voulais pas encore entendre cette histoire comme quoi j'étais gay, pas ce soir. … Trop tard. Elle l'avait dit, alors qu'elle était allongée sur mon lit. Je m'étais rapproché d'elle et c'est alors que j'avais ouvert mon cœur : « Si je ne suis pas heureux avec elles, c'est parce que ce n'était pas elles que je voulais. » J'avais alors rivé mon regard dans le sien. « C'est toi que je veux Thalia. Depuis le lycée. Je t'aime Thalia. » Je l'avais alors embrassé. Chose que j'avais toujours voulu faire depuis le lycée. Je m'étais retiré, m'excusant, me redressant un peu. C'était dingue comme l'alcool pouvait me donner du courage. C'est alors qu'elle m'embrassait de nouveau, je fus surpris mais je prolongeais passionnément ce baiser. On a passé la nuit ensemble et le lendemain on a fait comme si de rien ne s'était passé bien que je me suis senti gêné tout le long du repas du retour de mariage. « Alors James, t'as conclu avec une fille hier soir ? » Un de nos amis avait mis un bras autour de mon épaule. J'avais piqué un fard. « Arrêtes, je ne suis pas comme toi. » « Tu devrais... Tu sais, moi j'aurai bien aimé avoir Thalia... » Je lui avais alors empoigné la chemise avant de lui murmurer avec un grand sourire aux lèvres : « Tu fais ça, je pense que tu vas devoir aller chez le chirurgien esthétique tellement tu seras méconnaissable après le poing que je t'aurai mis dans la tronche. »

Cette situation je n'en pouvais plus. C'était elle qui avait voulu venir habiter ici, et voilà maintenant qu'elle ne me parlait même plus, ou alors juste pour m'engueuler. C'était comme ça depuis le mariage et ce qui s'était passé. Je lui avais demandé si elle voulait en parler mais à chaque fois elle me disait qu'elle ne se souvenait de rien. En bref, j'avais déclaré mes sentiments et me revoilà à la case départ. Je tambourinais comme un malade à la porte de la salle de bains, j'étais en boxer et j'allais être en retard au travail. J'avais réussi à me faire une place définitivement dans ce cabinet d'avocat et il était hors de question que j'arrive en retard. « Sérieusement Thalia tu fous quoi là-dedans ?! Ça fait 15 minutes que tu y es ! Je dois me préparer pour aller bosser merde ! » Ce n'était pas comme si elle avait un travail important et qu'elle devait mettre un temps fou à trouver sa tenue. Je frappais de nouveau avant qu'elle ne m'engueule me déclarant que je n'avais qu'à aller chez le voisin et qu'il était sans doute à mon goût. « PUTAIN T'ES CHIANTE ! » Ca m'énervait cette histoire à force. En quelle langue je devais lui faire comprendre que je n'étais pas gay et que je l'aimais ? En chinois ? En japonais ? En grec ancien ? Je passais mes mains dans mes cheveux, j'étais vraiment en pétard. Je pris quelques affaires dans ma chambre, enfilait des vêtements. Je partis en claquant la porte. Elle pouvait toujours aller se faire voir avec son caractère à la con. Franchement si je ne l'aimais pas, je l'aurai déjà foutu dehors. J'ai passé une journée exécrable au travail du coup. Je l'aime, mais qu'est ce qu'elle m'énerve à la fin !

Ca c'est du service rapide hahaha)

Bienvenue par ici :.3

J'avoue, c'est du service rapide.
Excellent choix de scénario et puis Andrew quoi.
Réserve-moi un lien.
Bienvenue sur Holy Ground et bon courage pour ta fiche.
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